Grégoire et Maël (1 vente): j
eudi 9 mai, les classes de première (commerce , vente et accueil) du Lycée Orsel partent visiter une exposition de Street Art dans la Halle Debourg à Lyon. Pour la première édition, le festival « peinture fraiche » prend place pendant 10 jours dans un ancien entrepôt de triage.
Les fresques de 70 artistes de 12 pays sont représentées sur les murs de l’entrepôt et sur des toiles.
Cette exposition éphémère disparaitra après la destruction du bâtiment.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mélanie (1 com) : au sous -sol , on était tout de suite accroché par le regard de Dali , un portrait exécuté par Fabien alias le Môme… une belle découverte pour moi

Sosuna (1 com) : on a visité le festival du Street art avec les 1er vente arcu, c’était génial, j’ai bien aimé.


 

 

 

Marie(1 vente) : durant l’exposition, notre guide nous a présenté plusieurs œuvres en nous expliquant les origines de celles-ci.
Nous avons pu découvrir plusieurs artistes du monde entier (même si majoritairement il y avait des artistes français) et l’univers qui les entoure comme Fin Dac, Jace Gouzou, Missme, Bordalo et bien d’autres encore.
L’univers du Street Art est coloré et magique.
Le monde de Fin Dac est mon préféré. Il se traduit par des geishas modernes en noir et blanc ou en couleurs, nues et tatouées. Ses œuvres sont associées à une technique de peinture spéciale à base d’éclaboussures de couleurs pop au niveau du regard.

Thibault (1 vente ) :Cette sortie était bien dans l’ensemble, elle nous a permis d’enrichir nos connaissances dans l’art. Les tableaux représentaient chaque artiste et leur style. Pour ma part j’ai trouvé ça vachement sympa et intéressant, les œuvres présentées étaient belles et celles exposées nous permettaient de voir les prix et les estimations du monde de l’art.

-Davy(1 com) : cette journée m’a permis de mieux savoir ce que c’était le Street Art ainsi que d’observer de belles œuvres.

-Terence (1 com) : cette journée m’a permis de voir ce qu’était le Street Art car je ne le savais pas. J’ai trouvé cela très intéressant. Certaines œuvres étaient plus grandes que d’autres et dans le sous-sol de la halle nous avons vu des représentations comme celle de « Jack This world » où il a fait une mise en scène avec une jeune fille. Il a découpé sur une feuille la fille et il a collé la feuille sur le rétroprojecteur, et dans le fond il y avait des images tristes.